So this is probably one of the most discussed topics in recent WordPress history. The introduction of the new WordPress Block editor (or Gutenberg editor as it was previously named). Some love it, some hate it, (and judging from the abysmal 2.5 star rating of the plugin, the later group is currently probably the bigger one), but no matter if you like or dislike it, it will affect you if you use WordPress in one way or another.

Here is how it affects our Enfold users, users of our other themes and also how it affects us 🙂

Lire la suite : https://kriesi.at/archives/wordpress-5-0-and-enfold-4-5-1

 

Créés et développés en 2005 par la société Automattic, WordPress est l’une des meilleures plateformes d’hébergement de blogs et de sites web.

Assez facile à utiliser et très riche de fonctionnalités et de plugins, cette plateforme est par excellence le meilleur système de gestion de contenus internet.

Performance, simplicité, et puissance sont les mots qui caractérisent WordPress. Si vous êtes gérant d’une petite entreprise ou développeur d’un site web d’une association, WordPress est indispensable pour développer son activité et son notoriété sur internet.

  • Importance de WordPress pour les associations et les petites entreprises

Savez-vous que WordPress fait tourner actuellement plus que 30 % du web ? Eh oui, cette plateforme est largement utilisée partout dans le monde et n’a jamais cessé de se développer avec de nouveaux plugins et des mises à jours quotidiennes.

Le fait d’utiliser WordPress pour son site internet d’association ou d’entreprise est une garantie d’un site web bien développé, très professionnel, élégant et bien référencé sur les moteurs de recherche comme Google.

WordPress vous offre plusieurs thèmes et différentes fonctionnalités pour que votre site d’entreprise ou d’association soit à la hauteur des attentes des internautes. Les pages offertes par différents plugins de WordPress (comme Thrive Landing Pages et Thrive Content Builder) offrent une expérience de navigation irréprochable sur votre site web d’entreprise ou d’association, permettant ainsi de capter vos visiteurs, voire même les séduire et améliorer votre e-réputation !

WordPress est également la meilleure plateforme pour créer vos landing page (pages d’atterrissage) en fonction de vos gouts, vos besoins et votre domaine d’activité.

  • Pourquoi choisir WordPress pour son site d’entreprise ou d’association ?

Truffé d’options et de fonctionnalités en tout genre, WordPress est la solution optimale pour faire décoller son activité professionnelle ou associative à travers un site web pro. WordPress vous permet de :

  • Gagner votre temps tout en évitant les développeurs web couteux ;
  • Créer vos pages de présentation facilement et rapidement avec des modèles et des thèmes prédéfinis ;
  • Créer vos pages de capture (squeeze page) pour augmenter vos listes d’emails ;
  • Personnaliser les thèmes et les appliquer pour un affichage optimal de votre blog ;

La start-up Prêt-à-pousser a réussi sur Kickstarter un coup de maitre, avec 343% de son objectif initial atteint. Elle vous livre son expérience et ses conseils pour réussir !

Derrière Prêt-à-pousser se cache une de ces nouvelles start-up très prometteuses. Elle a démarré en 2013 avec un concept atypique : proposer aux particuliers des kits prêts à l’emploi permettant de cultiver chez eux des champignons. Cela leur a d’ailleurs valu d’être désigné lauréat du Prix Audace et Inventivité du pavillon France à l’exposition universelle de Milan.
Depuis la création de la start-up, Jérôme Devouge et Romain Behaghel, les fondateurs, ont revu leur projet en réajustant leur mode de production des kits. « Nous ne pouvions plus tout faire nous-mêmes. Avec Romain, nous avons remis le projet à plat et nous avons cerné ce qui nous motivait dans cette aventure : proposer des produits bons, innovants et étonnants. Nous avons concentré notre énergie sur ce nouvel objectif », résume Jérôme Devouge.

Le crowdfunding pour financer une innovation

Cette réorientation implique d’externaliser le mode de production et la logistique. Après avoir soigneusement choisi les prestataires de services pour ces deux aspects, les deux fondateurs ont été fin prêts à donner à leur start-up plus d’ampleur avec un nouveau produit : Lilo, un kit permettant de faire pousser chez soi des aromates. Fonctionnant avec des recharges, il suffit de changer de capsules pour découvrir de nouvelles variétés : basilic, menthe, persil, ciboulette, coriandre… mais aussi les tomates-cerises, la menthe chocolat ou la verveine sont désormais à portée de main. En option ? Une version intelligente et connectée, Lilo Smart.
Pour permettre à cette innovation de voir le jour, ils espèrent lever ainsi près de 800.000 euros d’ici à la fin de l’été. Pour montrer la viabilité de leur projet et attirer des investisseurs, ils ont décidé d’avoir recours au crowdfunding sur la plateforme américaine Kickstarter. L’objectif : récolter 50.000 euros pour acheter des moules qui serviront à la fabrication de contenants en série. Pourquoi ce choix ? « Nous avons étudié le ratio des projets financés, le nombre de contributeurs de chaque plateforme, même française. Et Kickstarter est de loin la plus performante », justifient-t-ils.

Préparer la campagne en amont

Et en effet, en trois jours de campagne démarrée le 27 mai, 50.000 euros étaient déjà réunis. L’équipe française de Kickstarter a conseillé la start-up dans la mise en place et le suivi de cette levée de fonds. Il aura ainsi fallu deux mois et demi pour préparer la pré-campagne, travailler sur les textes de présentation et leur traduction en anglais, trouver les contreparties, peaufiner la vidéo, créer une page Facebook dédiée et mobiliser la communauté de la start-up, notamment ses 15.000 clients.

Les conseils de Prêt à Pousser pour réussir une campagne de crowdfunding
– Préparer la campagne au moins quatre mois à l’avance
– Rencontrer les équipes des plateformes sélectionnées, étudier les services d’accompagnement qu’elles proposent et analyser le ratio de projets financés avec leur montant et le nombre de contributeurs impliqués.
– Rencontrer les start-up qui ont eu leur projet financé et avoir leur retour d’expérience
– Mettre en place une feuille de route précise des objectifs à atteindre et des tâches à accomplir quotidiennement
– Impliquer toute l’équipe en répartissant les tâches.
– Avoir une solide communauté sur laquelle s’appuyer, surtout si ce sont déjà des clients.
– Limiter la campagne à un mois mais jamais en dessous de trois semaines

Intégrer les clients à la démarche

Les fondateurs ont donc informé leurs clients par mail une semaine avant cette mise en place. Ils leur ont demandé de s’inscrire sur la plateforme Thunderclap, qui leur a permis, le jour du lancement officiel de la campagne, de diffuser l’information à leurs propres contacts ainsi que sur Facebook. «600 personnes ont accepté cette demande. Ce qui a potentiellement permis d’informer ainsi 120.000 personnes de notre démarche », estime Jérôme Devouge. Kickstarter leur a également donner une visibilité auprès d’internautes américains, séduits par le concept et leur toute dernière innovation : les « prêts à pousser aromatiques connectés » qui permettent de suivre la pousse des plantes en temps réel grâce à un système de caméras et une application dédiée afin d’obtenir des conseils pour en prendre soin et trouver le moment idéal, avec recettes à la clé, pour les cuisiner.

Remercier ses contributeurs

Grâce à Kickstarter, la start-up a été repérée par Product Hunt, une plateforme bien connue aux Etats-Unis, qui donne la possibilité à ses internautes de voter pour les projets les plus innovants. Ainsi 40% de leur contributeurs de Prêt à Pousser sont américains. Ce qui enchante naturellement Jérôme Devouge et son associé qui envisagent de se développer, outre en Europe, sur le sol américain. Et pour faire vivre la campagne et continuer à susciter l’intérêt, ils ont publié tous les trois jours des articles sur Facebook afin d’informer les fans de son avancée. « A chaque étape, nous dévoilions ce que nous développerons grâce à l’argent collecté. Dès le départ, il est important d’expliquer à quoi il va servir», assurent-ils. Les créateurs misent aussi sur l’événementiel, en mettant en scène les contributeurs : leurs noms sont accrocher sur un arbre fictif qu’ils promènent et prennent en photo dans les lieux les plus emblématiques de Paris, comme si les “crowdfundeurs” y étaient. « La règle à ne jamais oublier est de toujours les remercier », affirme Jérôme Devouge. Cette logique a été poussée jusqu’à envoyer des cartes postales à chacun d’entre eux.

Au final :
Grâce au soutien de 1.809 contributeurs, Prêt à Pousser a pu réunir 171.296 euros, soit 343% de son objectif initial.

Tester et adapter les produits “en live”

« Cette campagne nous a permis de tester en live nos produits auprès de notre communauté, de prendre en compte leurs remarques et leurs questions. L’avantage est de leur livrer des produits qui correspondent à leurs besoins », fait remarquer notre interlocuteur. Car le but ultime serait de convaincre les business angels et autres fonds d’investissement d’investir dans leur société afin de développer une variété de plantes aromatiques d’ici à la fin décembre 2015, de mettre sur le marché les “ connectées” en mai 2016 et de se développer en Allemagne, au Royaume-Unis et pourquoi pas… aux Etats-Unis, un nouvel eldorado pour de jeunes pousses prometteuses !

Source : business.lesechos.fr

Yves Blein, auteur du rapport « 50 Mesures de simplification pour les associations », a accepté de répondre à quelques unes de nos questions. Le député socialiste du Rhône a mené une importante partie de sa carrière au sein de la Fédération Léo Lagrange. Le Premier ministre, Manuel Valls, l’a chargé, en mai 2014, d’écrire un rapport sur les associations, « forces vives de la société », et d’émettre des propositions pour participer au « choc de simplification » impulsé par le gouvernement. Il a rencontré plus de 70 représentants du monde associatif – des membres du Comité de la Charte du don en confiance, de l’UNAPEI ou de France bénévolat par exemple – une trentaine d’experts et une centaine de membres de l’administration – services du Premier ministre, ministère du Travail, préfectures et services déconcentrés, collectivités territoriales, etc. Ce rapport de plus de 130 pages dresse un panorama assez exhaustif de l’existant. Il propose des mesures pour simplifier le milieu associatif et prendre en considération l’étonnant paysage modelé par un statut unique d’association (loi 1901) mais contrasté par l’hétérogénéité du milieu. Trois axes guident ces 50 mesures : la complexité de la gouvernance de l’action publique, la redéfinition du champ de la commande publique et la fiscalité des associations.

Le député nous affirme que les études préliminaires à la rédaction ont rencontré des réactions très favorables. Ce rapport répond à une véritable « attente des associations ». Yves Blein s’est « beaucoup déplacé et a passé beaucoup de temps en audition ». La remise officielle a eu lieu début janvier dans un contexte médiatique chargé par les attentats qui ont frappé la France. Le député déplore par ailleurs que cela ne soit pas un sujet qui « fait palpiter les médias », n’ayant rien de spectaculaire.

Des suggestions simples pour une efficacité accrue en processus électroniques

La mise en œuvre des mesures devrait arriver assez rapidement, notamment tout ce qui concerne le volet électronique et la modernisation dont le « coffre-fort électronique » [La proposition 14 détaille la création d’un « coffre-fort » électronique qui permettra aux associations de conserver en ligne leurs informations et documents. Ce système permettra également de partager ces éléments avec l’administration et les financeurs, pour éviter la multiplication des envois et les relances.]. Il explique ensuite qu’il faut de la « transversalité » pour épurer les processus administratifs mais aussi une « simplification verticale » pour limiter la multiplicité actuelle des interlocuteurs car les associations comme l’administration « croulent sous la paperasse ».

Les associations doivent se « saisir » du mécénat

Il souhaite une certaine transparence à propos du déficit fiscal [l’abandon de recettes par l’État via les réductions et déductions fiscales] qui s’élève à 2 milliards d’euros selon le Minéfi, source fiable s’il en est. Il évoque librement la question et, comme beaucoup d’hommes politiques engagés dans le milieu associatif, insiste sur la nécessité du discours : « Il faut en parler et que les associations s’en saisissent », surtout dans un contexte d’affaiblissement des subventions. Il développe sans crainte de la polémique cette question (page 26) : « Le coût pour l’État de ces dépenses fiscales ne s’ajoute pas au budget des associations : son évaluation indique simplement qu’une partie des ressources “privées“ des associations (dons et mécénat) sont en fait des ressources “ publiques“, sous forme d’abandon de recettes fiscales (le donateur pouvant déduire une partie de ses dons de son impôt). »

Agir pour le bénévolat

Yves Blein donne dans son rapport (page 67) cinq dispositifs existant déjà pour aménager le temps de travail et pour encourager le bénévolat – essentiellement pour faciliter la disponibilité en journée : « le congé de formation de cadres et d’animateurs pour la jeunesse, le mécénat de compétences [Le mécénat de compétences est un dispositif de philanthropie de l’entreprise. Il est à différencier du bénévolat qui est lié à l’individu et à son temps particulier.], le congé individuel de formation ou le congé de formation professionnelle, le congé de solidarité internationale et le congé de représentation ». Lors de notre entretien, concernant le bénévolat dont le rapport traite donc longuement, le député souligne le « manque de compétences » de celui-ci. Il explique, suite à notre demande de précision sur le lien entre bénévolat et mécénat de compétences, que le développement du mécénat de compétences peut avoir un effet vertueux sur le bénévolat en donnant aux salariés l’envie de développer leur engagement de façon personnelle.

Suite à une question sur la reconnaissance du bénévolat étudiant pouvant, par exemple, comme dans certains pays, se traduire par un nombre de crédits auprès de l’université, M. Blein souligne que l’engagement associatif étudiant est très valorisé dans les CV pour les jeunes diplômés. À propos de son projet de service national obligatoire, il envisage une dispense de celui-ci si le parcours bénévole est suffisamment important : « il faut prendre en compte ceux qui consacrent de leur temps et de leur énergie à l’intérêt général ».

La reconnaissance d’utilité publique sous surveillance

Concernant le statut RUP, il explique souhaiter assouplir l’accès au statut mais aussi renforcer les contrôles continus après l’obtention de celui-ci pour vérifier que les avantages liés au titre correspondent bien à la réalité. Dans son rapport, la proposition 43 est « Renforcer l’obligation de transparence des comptes des organismes reconnus d’utilité publique et le pouvoir d’investigation et de contrôle des inspections générales. ».

Il est en effet dans l’air du temps de discuter de la transparence de gestion des associations et des fondations. Si certaines associations comme Ideas ou le Comité de la Charte du don en confiance ont pris le taureau par les cornes, il semble logique – et naturel – que l’État soit le garant de la bonne conduite des organismes à qui il accorde la reconnaissance d’utilité publique.

Le député Yves Blein s’est attelé à la lourde tâche de simplifier la vie quotidienne des associations, mais aussi de fournir au gouvernement une vision à plus long terme sur le paysage du don et du bénévolat en France. La mise en œuvre rapide de ces propositions devraient améliorer la vie des 1,3 million d’associations, qui, au cœur de la vie citoyenne, représentent, le rappelle M. Blein, 8% de l’emploi privé et « participe[nt] à la mise en œuvre de la plupart des politiques publiques dans tous les domaines ».

 

Source : http://www.carenews.com

Le crowdfunding ou financement participatif est un nouveau mode de financement de projets par le public. Il permet de récolter des fonds – généralement de faibles montants – auprès d’un large public en vue de financer un projet artistique (musique, édition, film, etc.) ou entrepreneurial. Les opérations de crowdfunding peuvent être des soutiens d’initiative de proximité ou des projets défendant certaines valeurs. Il est désormais réglementé par des agréments et des autorisations.

Le crowdfunding fonctionne le plus souvent via Internet et se présente sous différentes formes :
des dons avec ou sans contrepartie ;
des prêts avec ou sans intérêt ;
ou des souscriptions de titres.

En France, afin de favoriser le développement du financement participatif dans un environnement sécurisant pour les contributeurs (donateurs, prêteurs ou investisseurs), les pouvoirs publics ont adapté la réglementation, par l’ordonnance n°2014-559 du 30 mai 2014.

Le nouveau dispositif entre en vigueur le 1er octobre 2014.

Un label a aussi été créé pour identifier les plates-formes qui respectent les nouvelles règles introduites par l’ordonnance n° 2014-559 du 30 mai 2014 et son décret d’application n° 2014-1053 du 16 septembre 2014.

Selon la nature du financement proposé, les plates-formes de financement participatif doivent ou non justifier d’un statut réglementé pour l’exercice de leur activité :
Une plate-forme de financement participatif par souscription de titres financiers émis par une société non cotée doit être immatriculée auprès du registre de l’ORIAS en tant que conseiller en investissement participatif (CIP). Elle peut également opter pour le statut de prestataire en services d’investissement (PSI) fournissant le service de conseil et être, dans ce cas, agréée par l’ACPR. Ces plates-formes sont régulées par l’AMF seule pour les CIP et conjointement par l’AMF et l’ACPR pour les PSI.
Si le site internet propose de financer le projet sous la forme d’un prêt avec ou sans intérêt, la plate-forme doit être immatriculée auprès du registre de l’ORIAS en tant qu’intermédiaire en financement participatif (IFP).
L’ACPR peut contrôler à tout moment un intermédiaire en financement participatif.
Si le site internet ne propose que des financements sous forme de dons, la plate-forme n’a pas l’obligation de s’immatriculer auprès de l’ORIAS. Toutefois, elle peut choisir de s’immatriculer en tant qu’intermédiaire en financement participatif. Dans ce cas, elle doit respecter toutes les règles qui s’imposent aux intermédiaires en financement participatif.

Attention : Si le site internet encaisse des fonds pour le compte de tiers dans le cadre des opérations de financement participatif, la plate-forme doit être agréée a minima en qualité d’établissement de paiement (EP) par l’ACPR ou être enregistrée en tant qu’agent de prestataire de services de paiement.

Pour en savoir plus :

Le communiqué de presse du 30 septembre 2014 : L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution et l’Autorité des marchés financiers précisent le cadre réglementaire du financement participatif – crowdfunding
Le texte de la position de l’ACPR relative au placement non garanti et au financement participatif

Les textes législatifs en vigueur :

Ordonnance n° 2014-559 du 30 mai 2014 relative au financement participatif
Décret n° 2014-1053 du 16 septembre 2014 relatif au financement participatif
Arrêté du 22 septembre 2014 portant homologation des modifications du règlement général concernant le financement participatif
Arrêté du 30 septembre 2014 relatif à la capacité professionnelle des intermédiaires en financement participatif
Arrêté du 24 septembre 2014 portant homologation des statuts de l’organisme en charge de la tenue du registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance
Arrêté du 24 septembre 2014 modifiant l’arrêté du 20 décembre 2012 fixant le montant des frais d’inscription annuels au registre unique des intermédiaires mentionnés à l’article L. 546-1 du code monétaire et financier

Source : http://acpr.banque-france.fr/agrements-et-autorisations

SportsPress est un petit plugin WordPress avec une thématique sur le sport.

SportsPress est une extension qui permet de créer une plateforme dédiée à l’organisation d’un tournoi de sport et ou présentation d’un club avec ses joueurs, ses matchs de l’année…

Créée par Themeboy et surtout adaptée pour le foot, cette version beta est déjà pas mal aboutie.

Grâce à ce plugin, vous pouvez gérer facilement les horaires des rencontres, les classements, les profils des joueurs ainsi que les statistiques de vos équipes ou de votre championnat. Fonctionnant avec n’importe quel thème, SportsPress est aussi disponible dans plusieurs langues.

Pour en savoir plus contactez-nous.

Littéralement, une landing page est une page sur laquelle vos visiteurs « atterrissent ». En d’autres mots, la première page que vos visiteurs aperçoivent s’ils cliquent sur un lien particulier, une annonce, ou une bannière…

Elle peut être même la page d’accueil de votre site.

L’objectif de cette page (parfois aussi appelé « squeeze page ») est de persuader votre visiteur d’effectuer une action :
•S’abonner à votre newsletter ;
•Acheter un produit ou un service ;
•Ou toute autre action que vous souhaitez faire effectuer à votre visiteur.

La mesure la plus répandue de l’efficacité d’une landing page est son taux de conversion.

Le taux de conversion est le pourcentage des visiteurs qui effectuent l’action souhaitée (« l’objectif de conversion »).

Par exemple, si vous souhaitez via votre page qu’un visiteur s’inscrive à votre newsletter et que vous obtenez 10 abonnés pour 100 visites uniques de votre landing page, votre taux de conversion est de 10%.

Il est très difficile de donner un taux de conversion « typique » pour une landing page.

Ce taux varie de moins d’1 % à plus de 80 % en fonction de votre industrie, de votre objectif de conversion et de votre source de trafic (de l’endroit d’où viennent vos visiteurs).

Les 10 éléments qui vont suivre (ce billet est en deux parties : d’abord les premiers 5 éléments et ensuite encore 5 autres, dont le plus important !) ne sont pas forcément spécifiques à un type de landing page. Par contre ils s’appliquent à des pages qui ont un objectif de conversion et un taux de conversion mesurable.

Gardez aussi à l’esprit que ces 10 éléments ne constituent pas un tutoriel détaillé pour construire des landing pages efficaces. Il s’agit d’éléments que vous pouvez utiliser, et que vous devriez utiliser, pour tester le potentiel d’optimisation des Landing Pages sur votre site.

1. Est-ce que votre titre incite à continuer la lecture ?

Le titre de votre landing page est la chose la plus importante – l’élément clé de cette page !

C’est la première chose que vos lecteurs lisent, et si vous n’arrivez pas à attirer leur attention, vous n’allez pas arriver à votre objectif de conversion.

Alors quel est est l’objectif d’un titre à votre avis ? Réfléchissez un moment…

Inciter vos lecteurs à acheter votre produit ?

Incitez vos lecteurs à s’abonner à votre newsletter ?

Non, le titre est simplement là pour inciter vos lecteurs à continuer à lire. C’est son seul but.

Comment pouvez-vous accomplir ceci ?

Votre titre doit simplement commencer une conversation avec votre lecteur, en créant une lacune en matière d’information (« Information gap »). Une lacune que votre lecteur va tenter de combler.

Vous trouvez plus d’informations sur les recherches du professeur George Lowenstein au sujet de la « information gap theory » ici (en anglais).

Voici un petit test pour vous dire si votre titre est bon ou pas. Prenez ce titre par exemple :

« Vous avez trouvé ce que vous cherchez ! Nous proposons le meilleur WebDesign au meilleur prix que vous pouvez trouver à Paris. »

Imaginez maintenant un garçon qui approche une fille dans un bar en utilisant ce titre pour commencer une conversation avec le but d’arriver à une « conversion » :

« Vous avez trouvé celui que vous cherchez ! Je suis le garçon le plus fiable (drôle, charmant, musclé, beau,… vous choisissez) que vous pouvez trouver dans ce bar. »

Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour déduire que ceci va amener à quelque chose d’équivalent à une fermeture de page sur un site web ;).

Alors assurez-vous que votre titre incite à continuer à lire et à commencer une conversation avec votre lecteur

 

2. Quelle est la longueur optimale de votre premier paragraphe ?

Vous avez une idée de combien de temps vous avez pour faire une bonne première impression ?

30 secondes ?

10 secondes ?

Les psychologues Janine Willis et Alexander Todorov de Princeton University ont mené une multitude de recherches approfondies à ce sujet :

Leur recherches et expériences ont montré que vous avez le temps d’un clin d’oeil !

Qu’est-ce que ça veut dire pour votre premier paragraphe (ou votre sous-titre) ?

Il doit être percutant, très concis, et donner une bonne impression.

Alors ne dépassez pas une ou deux lignes (et non pas une ou deux phrases!) pour votre premier paragraphe ou votre sous-titre.

Assurez vous que celui-ci est une suite naturelle de la conversation que vous avez commencé avec votre titre.

3. Est-ce que vous parlez dans la langue de vos lecteurs ?

Trop souvent je vois des Landing Pages ou des articles de blogs avec un langage qui n’a rien à voir avec le langage que parlent les lecteurs recherchés.

Si vos lecteurs n’utiliseront pas un certain type d’expression, vous devriez ne pas l’utiliser non plus.

Sauf dans certains cas très spécifiques, simplifiez votre contenu et n’utilisez pas des expressions complexes.

Ecrivez aussi des phrases les plus courtes possibles et entrecoupez votre texte en plusieurs paragraphes. Des études ont démontré que vous pouvez garder ainsi l’attention de vos lecteurs plus longtemps.

Posez vous la question suivante : quel niveau de compétence et d’expérience vos lecteurs recherchés vont avoir dans votre domaine d’activité ou votre domaine d’expertise ? Adaptez-vous.

4. Est ce que vous vous focalisez sur l’intérêt personnel de votre lecteur ?

Une multitude de recherches scientifiques menées dans le domaine de la psychologie de persuasion ont démontré que les gens sont intéressés par dessus tout par eux mêmes et par leurs propres objectifs et problèmes.

Alors écrivez autour des avantages qu’eux vont obtenir. Créer du contenu autour de la résolution de leur problème.

Parler de vous-même peut aider dans certaines situations. Mais ceci doit impérativement être en relation avec leurs besoins, leurs problèmes et leurs objectifs.

5. Avez-vous bien compris la réelle valeur ajouté des images, des vidéos ou des graphiques sur votre page ?

Vous vous dites peut-être : tout le monde le fait alors ça doit avoir son utilité.

Effectivement ces éléments ont une utilité. Mais seulement s’ils sont correctement utilisés.

Si vous utilisez des images, des vidéos ou des graphiques, ils doivent obligatoirement renforcer votre message, votre proposition de valeur.

Alors, n’utilisez pas des images ou des graphiques simplement parce que vous pensez que vous devez les utiliser.

Source : www.webmarketing-com.com