Grâce à Internet, le marketing a évolué au fil des années. Pourtant, les marques comptent encore sur les approches traditionnelles du marketing « outbound » en achetant de l’espace publicitaire sur tous les supports possibles. Que ce soit avec des spots TV au milieu d’une série, des Pop-up pendant que vous naviguez sur vos sites préférés ou des spams dans vos emails, autant dire que ces techniques intrusives sont de moins en moins efficaces et surtout désagréables pour les utilisateurs…

Heureusement, l’Inbound Marketing se développe à un rythme rapide en permettant de faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher grâce à une méthodologie axée autour de la création de contenu. C’est aujourd’hui la meilleure stratégie marketing pour acquérir des prospects, les transformer en clients et les fidéliser avec des coûts plus intéressants que le marketing traditionnel !

Pour vous le prouver, j’ai réalisé une infographie avec huit arguments pour vous convaincre de passer enfin à l’Inbound Marketing pour votre stratégie digitale.

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La start-up Prêt-à-pousser a réussi sur Kickstarter un coup de maitre, avec 343% de son objectif initial atteint. Elle vous livre son expérience et ses conseils pour réussir !

Derrière Prêt-à-pousser se cache une de ces nouvelles start-up très prometteuses. Elle a démarré en 2013 avec un concept atypique : proposer aux particuliers des kits prêts à l’emploi permettant de cultiver chez eux des champignons. Cela leur a d’ailleurs valu d’être désigné lauréat du Prix Audace et Inventivité du pavillon France à l’exposition universelle de Milan.
Depuis la création de la start-up, Jérôme Devouge et Romain Behaghel, les fondateurs, ont revu leur projet en réajustant leur mode de production des kits. « Nous ne pouvions plus tout faire nous-mêmes. Avec Romain, nous avons remis le projet à plat et nous avons cerné ce qui nous motivait dans cette aventure : proposer des produits bons, innovants et étonnants. Nous avons concentré notre énergie sur ce nouvel objectif », résume Jérôme Devouge.

Le crowdfunding pour financer une innovation

Cette réorientation implique d’externaliser le mode de production et la logistique. Après avoir soigneusement choisi les prestataires de services pour ces deux aspects, les deux fondateurs ont été fin prêts à donner à leur start-up plus d’ampleur avec un nouveau produit : Lilo, un kit permettant de faire pousser chez soi des aromates. Fonctionnant avec des recharges, il suffit de changer de capsules pour découvrir de nouvelles variétés : basilic, menthe, persil, ciboulette, coriandre… mais aussi les tomates-cerises, la menthe chocolat ou la verveine sont désormais à portée de main. En option ? Une version intelligente et connectée, Lilo Smart.
Pour permettre à cette innovation de voir le jour, ils espèrent lever ainsi près de 800.000 euros d’ici à la fin de l’été. Pour montrer la viabilité de leur projet et attirer des investisseurs, ils ont décidé d’avoir recours au crowdfunding sur la plateforme américaine Kickstarter. L’objectif : récolter 50.000 euros pour acheter des moules qui serviront à la fabrication de contenants en série. Pourquoi ce choix ? « Nous avons étudié le ratio des projets financés, le nombre de contributeurs de chaque plateforme, même française. Et Kickstarter est de loin la plus performante », justifient-t-ils.

Préparer la campagne en amont

Et en effet, en trois jours de campagne démarrée le 27 mai, 50.000 euros étaient déjà réunis. L’équipe française de Kickstarter a conseillé la start-up dans la mise en place et le suivi de cette levée de fonds. Il aura ainsi fallu deux mois et demi pour préparer la pré-campagne, travailler sur les textes de présentation et leur traduction en anglais, trouver les contreparties, peaufiner la vidéo, créer une page Facebook dédiée et mobiliser la communauté de la start-up, notamment ses 15.000 clients.

Les conseils de Prêt à Pousser pour réussir une campagne de crowdfunding
– Préparer la campagne au moins quatre mois à l’avance
– Rencontrer les équipes des plateformes sélectionnées, étudier les services d’accompagnement qu’elles proposent et analyser le ratio de projets financés avec leur montant et le nombre de contributeurs impliqués.
– Rencontrer les start-up qui ont eu leur projet financé et avoir leur retour d’expérience
– Mettre en place une feuille de route précise des objectifs à atteindre et des tâches à accomplir quotidiennement
– Impliquer toute l’équipe en répartissant les tâches.
– Avoir une solide communauté sur laquelle s’appuyer, surtout si ce sont déjà des clients.
– Limiter la campagne à un mois mais jamais en dessous de trois semaines

Intégrer les clients à la démarche

Les fondateurs ont donc informé leurs clients par mail une semaine avant cette mise en place. Ils leur ont demandé de s’inscrire sur la plateforme Thunderclap, qui leur a permis, le jour du lancement officiel de la campagne, de diffuser l’information à leurs propres contacts ainsi que sur Facebook. «600 personnes ont accepté cette demande. Ce qui a potentiellement permis d’informer ainsi 120.000 personnes de notre démarche », estime Jérôme Devouge. Kickstarter leur a également donner une visibilité auprès d’internautes américains, séduits par le concept et leur toute dernière innovation : les « prêts à pousser aromatiques connectés » qui permettent de suivre la pousse des plantes en temps réel grâce à un système de caméras et une application dédiée afin d’obtenir des conseils pour en prendre soin et trouver le moment idéal, avec recettes à la clé, pour les cuisiner.

Remercier ses contributeurs

Grâce à Kickstarter, la start-up a été repérée par Product Hunt, une plateforme bien connue aux Etats-Unis, qui donne la possibilité à ses internautes de voter pour les projets les plus innovants. Ainsi 40% de leur contributeurs de Prêt à Pousser sont américains. Ce qui enchante naturellement Jérôme Devouge et son associé qui envisagent de se développer, outre en Europe, sur le sol américain. Et pour faire vivre la campagne et continuer à susciter l’intérêt, ils ont publié tous les trois jours des articles sur Facebook afin d’informer les fans de son avancée. « A chaque étape, nous dévoilions ce que nous développerons grâce à l’argent collecté. Dès le départ, il est important d’expliquer à quoi il va servir», assurent-ils. Les créateurs misent aussi sur l’événementiel, en mettant en scène les contributeurs : leurs noms sont accrocher sur un arbre fictif qu’ils promènent et prennent en photo dans les lieux les plus emblématiques de Paris, comme si les “crowdfundeurs” y étaient. « La règle à ne jamais oublier est de toujours les remercier », affirme Jérôme Devouge. Cette logique a été poussée jusqu’à envoyer des cartes postales à chacun d’entre eux.

Au final :
Grâce au soutien de 1.809 contributeurs, Prêt à Pousser a pu réunir 171.296 euros, soit 343% de son objectif initial.

Tester et adapter les produits “en live”

« Cette campagne nous a permis de tester en live nos produits auprès de notre communauté, de prendre en compte leurs remarques et leurs questions. L’avantage est de leur livrer des produits qui correspondent à leurs besoins », fait remarquer notre interlocuteur. Car le but ultime serait de convaincre les business angels et autres fonds d’investissement d’investir dans leur société afin de développer une variété de plantes aromatiques d’ici à la fin décembre 2015, de mettre sur le marché les “ connectées” en mai 2016 et de se développer en Allemagne, au Royaume-Unis et pourquoi pas… aux Etats-Unis, un nouvel eldorado pour de jeunes pousses prometteuses !

Source : business.lesechos.fr

Le crowdfunding ou financement participatif est un nouveau mode de financement de projets par le public. Il permet de récolter des fonds – généralement de faibles montants – auprès d’un large public en vue de financer un projet artistique (musique, édition, film, etc.) ou entrepreneurial. Les opérations de crowdfunding peuvent être des soutiens d’initiative de proximité ou des projets défendant certaines valeurs. Il est désormais réglementé par des agréments et des autorisations.

Le crowdfunding fonctionne le plus souvent via Internet et se présente sous différentes formes :
des dons avec ou sans contrepartie ;
des prêts avec ou sans intérêt ;
ou des souscriptions de titres.

En France, afin de favoriser le développement du financement participatif dans un environnement sécurisant pour les contributeurs (donateurs, prêteurs ou investisseurs), les pouvoirs publics ont adapté la réglementation, par l’ordonnance n°2014-559 du 30 mai 2014.

Le nouveau dispositif entre en vigueur le 1er octobre 2014.

Un label a aussi été créé pour identifier les plates-formes qui respectent les nouvelles règles introduites par l’ordonnance n° 2014-559 du 30 mai 2014 et son décret d’application n° 2014-1053 du 16 septembre 2014.

Selon la nature du financement proposé, les plates-formes de financement participatif doivent ou non justifier d’un statut réglementé pour l’exercice de leur activité :
Une plate-forme de financement participatif par souscription de titres financiers émis par une société non cotée doit être immatriculée auprès du registre de l’ORIAS en tant que conseiller en investissement participatif (CIP). Elle peut également opter pour le statut de prestataire en services d’investissement (PSI) fournissant le service de conseil et être, dans ce cas, agréée par l’ACPR. Ces plates-formes sont régulées par l’AMF seule pour les CIP et conjointement par l’AMF et l’ACPR pour les PSI.
Si le site internet propose de financer le projet sous la forme d’un prêt avec ou sans intérêt, la plate-forme doit être immatriculée auprès du registre de l’ORIAS en tant qu’intermédiaire en financement participatif (IFP).
L’ACPR peut contrôler à tout moment un intermédiaire en financement participatif.
Si le site internet ne propose que des financements sous forme de dons, la plate-forme n’a pas l’obligation de s’immatriculer auprès de l’ORIAS. Toutefois, elle peut choisir de s’immatriculer en tant qu’intermédiaire en financement participatif. Dans ce cas, elle doit respecter toutes les règles qui s’imposent aux intermédiaires en financement participatif.

Attention : Si le site internet encaisse des fonds pour le compte de tiers dans le cadre des opérations de financement participatif, la plate-forme doit être agréée a minima en qualité d’établissement de paiement (EP) par l’ACPR ou être enregistrée en tant qu’agent de prestataire de services de paiement.

Pour en savoir plus :

Le communiqué de presse du 30 septembre 2014 : L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution et l’Autorité des marchés financiers précisent le cadre réglementaire du financement participatif – crowdfunding
Le texte de la position de l’ACPR relative au placement non garanti et au financement participatif

Les textes législatifs en vigueur :

Ordonnance n° 2014-559 du 30 mai 2014 relative au financement participatif
Décret n° 2014-1053 du 16 septembre 2014 relatif au financement participatif
Arrêté du 22 septembre 2014 portant homologation des modifications du règlement général concernant le financement participatif
Arrêté du 30 septembre 2014 relatif à la capacité professionnelle des intermédiaires en financement participatif
Arrêté du 24 septembre 2014 portant homologation des statuts de l’organisme en charge de la tenue du registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance
Arrêté du 24 septembre 2014 modifiant l’arrêté du 20 décembre 2012 fixant le montant des frais d’inscription annuels au registre unique des intermédiaires mentionnés à l’article L. 546-1 du code monétaire et financier

Source : http://acpr.banque-france.fr/agrements-et-autorisations

SportsPress est un petit plugin WordPress avec une thématique sur le sport.

SportsPress est une extension qui permet de créer une plateforme dédiée à l’organisation d’un tournoi de sport et ou présentation d’un club avec ses joueurs, ses matchs de l’année…

Créée par Themeboy et surtout adaptée pour le foot, cette version beta est déjà pas mal aboutie.

Grâce à ce plugin, vous pouvez gérer facilement les horaires des rencontres, les classements, les profils des joueurs ainsi que les statistiques de vos équipes ou de votre championnat. Fonctionnant avec n’importe quel thème, SportsPress est aussi disponible dans plusieurs langues.

Pour en savoir plus contactez-nous.

L’offre de contenu est la clé de voûte du succès d’Apple. Quelques explications sur ces stratégies qui créent l’engouement jusqu’à transformer les marques en religions.

L’inbound marketing a largement fait sa place dans les stratégies actuelles et séduit de plus en plus de marketeurs…et de consommateurs. On pourrait le résumer de manière presque inédite :

« Une stratégie subtile et attentive qui permet à la marque d’être facilement repérée sur la toile par les internautes, qui devant une offre de contenu pour le moins intéressante, font un pas vers celle-ci ».

Bien entendu, ce n’est qu’une courte appréciation d’un système plus complexe, cependant, elle nous permet déjà de comprendre ce qui fait son succès : l’offre de contenu.

Générer des tribus

Le contenu peut être varié : de la simple information à travers des histoires (le mot barbare des marketeurs, c’est le storytelling), des articles, des livres blancs, de la vidéo, des infographies, des offres d’essai… Le tout fédéré autour d’un sujet commun, qui concerne généralement la marque qui le présente.

Et qui dit sujet, dit intérêt. Internet offre cette merveilleuse possibilité de trouver ces contenus et surtout de nous retrouver autour. Là où l’on pensait qu’internet permettrait de réunir tout le monde dans un « hub » d’informations, il en fut l’effet inverse. Internet a permis de générer des tribus, se regroupant autour d’intérêts communs. Ce phénomène a brillamment été développé par Seth Godin dans sa conférence « The tribeswelead ».

Dès lors qu’une entreprise produit du contenu, elle fédère automatiquement une communauté d’adeptes, une véritable tribu ! D’autant plus qu’il s’agit d’une tribu active : les membres aiment, partagent et font circuler l’information ; ils participent ainsi au développement de la marque. Quoi de plus efficace ?

Acheter le pourquoi

Pour aller encore plus loin, parce que nous aimons insister, nous pouvons aborder le concept de Golden Circle, développé par un second gourou du marketing : Simon Sinek. Il met en évidence le succès d’Apple, de Martin Luther King ou encore des frères wright à travers le schéma simple de trois cercles concentriques. Le plus grand cercle illustre le « what », le cercle du milieu le « how »et le dernier représente le « why ».

Le raisonnement est simple : le « what » correspond à ce que produisent les entreprises, le « how » à comment elles le font, et le « why » à pourquoi elles le font. Le « pourquoi » va au-delà du profit, il regarde le but, la cause, la croyance : pourquoi est-ce que l’entreprise ou l’organisation existe ? Le succès d’Apple tient simplement à ça : ils communiquent d’abord par le « why », c’est-à-dire sur la raison de leur existence. Leurs clients n’achètent pas ce qu’ils font, ils achètent ce pourquoi ils le font.

« People don’t buy what you do, they buy why you do it. »

Croire sincèrement

Et c’est ainsi que nous comprenons que les consommateurs ne veulent pas seulement des produits, ils veulent l’histoire qui les accompagne. L’inbound marketing traite de ceci : on ne vend plus le produit, on vend du contenu, on va au-delà du matériel, on veut intéresser les personnes avec de l’information, avec des histoires. En somme, ce n’est pas tant le produit qui fait la différence, mais ce qu’en dit la marque ou l’entreprise. L’objectif n’est pas tant de faire du business avec des consommateurs qui ont besoin de ce que l’entreprise conçoit, mais de faire du business avec des personnes qui croient en ce que l’entreprise croit. Et ce en quoi l’entreprise croit, c’est bien dans ce contenu qu’elle peut le diffuser.

Certes, nous avons presque tout cerné de ce que veulent les consommateurs, mais attention à ne pas leur raconter des « histoires », rester crédible et appréciable, c’est aussi être sincère !

Rédigé par Valentine Ducreux, consultante au sein de l’agence de relations presse 1min30

Google Ad Grants est un programme qui permet à certaines associations caritatives de bénéficier gratuitement de la publicité Google AdWords. Il est conçu pour aider les associations à diffuser leurs messages de service public auprès d’une audience internationale, afin d’avoir un impact mondial plus important.

Pour en savoir plus sur ce programme et connaître les modalités d’inscription, accédez à la page www.google.fr/grants ou consultez le Centre d’aide Google Ad Grants.

Qu’est-ce que Google Ad Grants ?

Google Ad Grants est une version d’AdWords (l’outil de publicité en ligne de Google) destinée aux organismes à but non lucratif. Google Ad Grants permet à ces derniers de promouvoir leurs missions et leurs initiatives sur les pages de résultats de recherche Google, en leur offrant un crédit de publicité AdWords™ de 10 000 USD par mois.

Le crowdfunding, appelé également financement participatif, est une technique de financement de projets de création d’entreprise utilisant internet comme canal de mise en relation entre les porteurs de projet et les personnes souhaitant investir dans ces projets.

Pratique ancienne, elle fait l’objet actuellement d’un large engouement en raison de sa simplicité de fonctionnement et des difficultés que rencontrent certains créateurs à trouver des financements pour leurs petits projets.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Deux aspects :

l’épargnant qui souhaite investir un peu d’argent dans un projet « coup de coeur »

le porteur d’un projet de création d’entreprise qui ne possède pas les fonds nécessaires au démarrage de son activité et ne souhaite pas faire appel au crédit bancaire

L’un et l’autre se rencontrent sur internet via une plateforme dédiée. Les projets sont présentés par leurs porteurs et les épargnants choisissent de financer celui (ou ceux) qui leur plaisent à hauteur de ce qu’ils souhaitent investir.

Le fonctionnement très simple de cette forme de financement présente aussi l’avantage de la transparence pour l’épargnant. Celui-ci sait ce qu’il finance et le fait par choix et selon ses valeurs.

 A qui cela s’adresse-t-il ?

Le financement participatif s’intéresse à toutes les sortes de projets. Généralement, les sites de mise en relation sont thématiques : projets culturels, sociaux, environnementaux, innovants, numériques, etc.

Trois formes d’apports sont offertes aux investisseurs :

un don modique appelé aussi « présent d’usage ». La rémunération de l’épargnant est  sans contrepartie financière : ce peut être un objet, une entrée gratuite pour un spectacle, etc.

une participation aux fonds propres de la société créée. La rémunération de l’épargnant se fait alors par les dividendes ou par la plus-value réalisée lors de la cession des titres.

un prêt. Les prêts versant des intérêts ne peuvent être proposés que par des établissements de crédit agréés par la Banque de France.  La collecte de fonds pour réaliser des opérations de prêt à intérêt est donc interdite. Seule la collecte de prêts sans intérêts est ouverte aux particuliers.

Les sommes investies peuvent aller de quelques euros à plusieurs centaines.

 Règlementation

La règlementation bancaire et fiscale est source de contraintes importantes pour les structures proposant des plateformes de financement qui doivent obéir à différentes règles :

règles prudentielles identiques à celles des établissements bancaires : identification détaillée de l’épargnant (justificatifs d’identité et de domicile), contrôles anti-blanchiment, anti-terrorisme, etc.

règles de contrôle de la qualification des investisseurs car le financement participatif est considéré comme un investissement risqué (bien que les montants investis soient souvent plus faibles que ceux qui sont dépensés dans les jeux de hasard)

Coût

Pour fonctionner les plateformes prennent une commission sur le montant des sommes récoltées (5 à 12 %).

Il existe aussi la possibilité de verser un pourboire à la plateforme qui a pris en charge l’ensemble des coûts pour rémunérer le service qu’elle a rendu.