De nos jours, le référencement d’un site internet c’est considérablement complexifié. Avec ses différentes mises à jours, Google vise à proposer le contenu le plus pertinent possible pour les internautes. Pour être plus précis, Google veut que lorsqu’un internaute fait une recherche sur son moteur de recherche, les résultats qui vont s’afficher vont être en rapport exact avec la requête de l’internaute.

Ainsi, plusieurs critères vont être important dans une stratégie de référencement naturel sur Google :

 

Un site mis à jour régulièrement

L’un des premiers critères prit en compte par Google pour référencer un site internet est la fréquence des mises à jours. De ce fait, plus un site sera souvent mis à jour, plus il aura de chance d’améliorer son positionnement dans les résultat de recherche. Cela s’explique par le fait que Google souhaite privilégié les contenus de qualité et donc des contenus qui sont d’actualité. C’est donc pour cela qu’il est de plus en plus préconisé de tenir un blog au sein de son site internet pour justement faire régulièrement des mises à jour de son site.

La qualité du contenu

Pour être plus parlant, nous allons prendre l’exemple d’un article de blog sur un sujet précis (peut importe le sujet). Pour que cet article soit considéré “de qualité” par Google, il devra être rédigé de manière à répondre précisément à la question que se pose l’internaute lorsqu’il fait une requête en rapport avec ce même sujet. Ainsi, l’article devra être une véritable valeur ajoutée aux yeux de l’internaute. Pensez donc lorsque vous rédiger vos articles à vous demander à quelle question des internautes répondez vous. Aussi, il faut savoir qu’un article doit être composé au minimum de 500 mots pour être pris en considération par Google, et bien entendu, il n’y a pas de limite.

Ainsi, nous arrivons au second point important dans le référencement d’un site internet sur Google : les liens entrants.

Les liens entrants

Les liens entrants vont être tous les liens qui vont être sur internet et qui vont mener vers votre site. Cela peut être des partages sur les réseaux sociaux ou encore du guest blogging. Ainsi, pour Google, le fait qu’un site soit souvent cité (car le fait de partager un lien vers un site internet fait que celui ci est cité) veut dire que le site est réputé dans son domaine et propose donc du contenu pertinent qui réponds aux questions des internautes dans ce domaine. Noté aussi que les partages sur les réseaux sociaux peuvent aussi entrer en compte pour déterminer la réputation de votre site. Ainsi, ce critère va refaire l’objet d’un autre point que nous aborderons un peu plus loin dans cet article.

Les ancres

Les ancres sont un élément adoré par le moteur de recherche numéro 1 en France. Pour rappel, les ancres sont des liens interne à un site internet et qui permettent aux visiteurs d’accéder directement à une partie précise d’un contenu (par exemple dans un article de blog assez long). Ainsi, lorsque vos articles sont long, l’utilisation de ce type de lien peut être très intéressant, d’une part pour le confort du visiteur, mais d’autre part (et surtout) parce que Google est friant de ce type de lien. Ainsi, avoir recours aux ancres améliore votre référencement. Noter aussi que faire un lien dans un article de blog vers un autre article de ce même blog est un bon critère pour plaire à Google.

Le Google Juice ou l’essence du référencement naturel

Toutes ces explications sur les différents liens nous amène tout droit à un sujet inévitable lorsque l’on parle de référencement sur Google : le google Juice. Ce dernier, qui signifie le « jus de Google » est un indicateur important pour référencer son site internet. En effet, plus une page aura de ce Google Juice, plus elle sera perçu comme « importante » au yeux de Google. Comment faire pour en avoir ? Et bien n’importe quel site internet en dispose dès sa création, et en même quantité. En réalité, le google Juice est en grande quantité sur la page d’accueil d’un site, et se divise proportionnellement en fonction des liens présent sur cette page d’accueil, et ainsi de suite sur les différents liens des autres pages. Vous l’aurez donc compris, les contenus les plus important devront avoir le plus de google Juice possible, et devront donc être placer en dessous de la page d’accueil (d’un point de vue hiérarchique), puisque plus une page est éloignée de la page d’accueil, moins elle reçoit du google Juice, et donc moins elle à de considération de la part de Google.

Il existe bien entendu un moyen pour obtenir plus de ce précieux « liquide », l’échange de lien que nous avons vue précédemment. En effet, le fait d’avoir un site faisant un lien vers notre site permet de faire bénéficier à notre site d’une partie du google Juice du cite faisant un lien vers nous.

Les balises html

Le dernier point (et pas des moindres) qu’il faut prendre en compte pour le référencement de son site internet est le contenu des balises html. Ainsi, les mots clés les plus important devront être présent dans les titres « H1″, ainsi que dans les sous titres « H2″. D’autres mots clés pourront présent sur la page et/ou l’article pourront être mis en gras.

Ainsi, voilà l’ensemble des éléments qui vont être important aux yeux de Google pour référencer un site ou non dans les premiers résultats de recherche. Bien sur, cela n’empêche pas qu’un site doit avoir un code propre pour que Google puisse facilement lire le contenu du site. Mais retenez cette formule : contenu de qualité + liens entrants = référencement gagnant !

Si vous souhaiter améliorer le référencement de votre site internet, vous pouvez contacter notre agence web. Aussi, vous pouvez télécharger gratuitement notre livre blanc pour comprendre les solutions publicitaires de Google.

Source : https://www.1min30.com

Littéralement, une landing page est une page sur laquelle vos visiteurs « atterrissent ». En d’autres mots, la première page que vos visiteurs aperçoivent s’ils cliquent sur un lien particulier, une annonce, ou une bannière…

Elle peut être même la page d’accueil de votre site.

L’objectif de cette page (parfois aussi appelé « squeeze page ») est de persuader votre visiteur d’effectuer une action :
•S’abonner à votre newsletter ;
•Acheter un produit ou un service ;
•Ou toute autre action que vous souhaitez faire effectuer à votre visiteur.

La mesure la plus répandue de l’efficacité d’une landing page est son taux de conversion.

Le taux de conversion est le pourcentage des visiteurs qui effectuent l’action souhaitée (« l’objectif de conversion »).

Par exemple, si vous souhaitez via votre page qu’un visiteur s’inscrive à votre newsletter et que vous obtenez 10 abonnés pour 100 visites uniques de votre landing page, votre taux de conversion est de 10%.

Il est très difficile de donner un taux de conversion « typique » pour une landing page.

Ce taux varie de moins d’1 % à plus de 80 % en fonction de votre industrie, de votre objectif de conversion et de votre source de trafic (de l’endroit d’où viennent vos visiteurs).

Les 10 éléments qui vont suivre (ce billet est en deux parties : d’abord les premiers 5 éléments et ensuite encore 5 autres, dont le plus important !) ne sont pas forcément spécifiques à un type de landing page. Par contre ils s’appliquent à des pages qui ont un objectif de conversion et un taux de conversion mesurable.

Gardez aussi à l’esprit que ces 10 éléments ne constituent pas un tutoriel détaillé pour construire des landing pages efficaces. Il s’agit d’éléments que vous pouvez utiliser, et que vous devriez utiliser, pour tester le potentiel d’optimisation des Landing Pages sur votre site.

1. Est-ce que votre titre incite à continuer la lecture ?

Le titre de votre landing page est la chose la plus importante – l’élément clé de cette page !

C’est la première chose que vos lecteurs lisent, et si vous n’arrivez pas à attirer leur attention, vous n’allez pas arriver à votre objectif de conversion.

Alors quel est est l’objectif d’un titre à votre avis ? Réfléchissez un moment…

Inciter vos lecteurs à acheter votre produit ?

Incitez vos lecteurs à s’abonner à votre newsletter ?

Non, le titre est simplement là pour inciter vos lecteurs à continuer à lire. C’est son seul but.

Comment pouvez-vous accomplir ceci ?

Votre titre doit simplement commencer une conversation avec votre lecteur, en créant une lacune en matière d’information (« Information gap »). Une lacune que votre lecteur va tenter de combler.

Vous trouvez plus d’informations sur les recherches du professeur George Lowenstein au sujet de la « information gap theory » ici (en anglais).

Voici un petit test pour vous dire si votre titre est bon ou pas. Prenez ce titre par exemple :

« Vous avez trouvé ce que vous cherchez ! Nous proposons le meilleur WebDesign au meilleur prix que vous pouvez trouver à Paris. »

Imaginez maintenant un garçon qui approche une fille dans un bar en utilisant ce titre pour commencer une conversation avec le but d’arriver à une « conversion » :

« Vous avez trouvé celui que vous cherchez ! Je suis le garçon le plus fiable (drôle, charmant, musclé, beau,… vous choisissez) que vous pouvez trouver dans ce bar. »

Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour déduire que ceci va amener à quelque chose d’équivalent à une fermeture de page sur un site web ;).

Alors assurez-vous que votre titre incite à continuer à lire et à commencer une conversation avec votre lecteur

 

2. Quelle est la longueur optimale de votre premier paragraphe ?

Vous avez une idée de combien de temps vous avez pour faire une bonne première impression ?

30 secondes ?

10 secondes ?

Les psychologues Janine Willis et Alexander Todorov de Princeton University ont mené une multitude de recherches approfondies à ce sujet :

Leur recherches et expériences ont montré que vous avez le temps d’un clin d’oeil !

Qu’est-ce que ça veut dire pour votre premier paragraphe (ou votre sous-titre) ?

Il doit être percutant, très concis, et donner une bonne impression.

Alors ne dépassez pas une ou deux lignes (et non pas une ou deux phrases!) pour votre premier paragraphe ou votre sous-titre.

Assurez vous que celui-ci est une suite naturelle de la conversation que vous avez commencé avec votre titre.

3. Est-ce que vous parlez dans la langue de vos lecteurs ?

Trop souvent je vois des Landing Pages ou des articles de blogs avec un langage qui n’a rien à voir avec le langage que parlent les lecteurs recherchés.

Si vos lecteurs n’utiliseront pas un certain type d’expression, vous devriez ne pas l’utiliser non plus.

Sauf dans certains cas très spécifiques, simplifiez votre contenu et n’utilisez pas des expressions complexes.

Ecrivez aussi des phrases les plus courtes possibles et entrecoupez votre texte en plusieurs paragraphes. Des études ont démontré que vous pouvez garder ainsi l’attention de vos lecteurs plus longtemps.

Posez vous la question suivante : quel niveau de compétence et d’expérience vos lecteurs recherchés vont avoir dans votre domaine d’activité ou votre domaine d’expertise ? Adaptez-vous.

4. Est ce que vous vous focalisez sur l’intérêt personnel de votre lecteur ?

Une multitude de recherches scientifiques menées dans le domaine de la psychologie de persuasion ont démontré que les gens sont intéressés par dessus tout par eux mêmes et par leurs propres objectifs et problèmes.

Alors écrivez autour des avantages qu’eux vont obtenir. Créer du contenu autour de la résolution de leur problème.

Parler de vous-même peut aider dans certaines situations. Mais ceci doit impérativement être en relation avec leurs besoins, leurs problèmes et leurs objectifs.

5. Avez-vous bien compris la réelle valeur ajouté des images, des vidéos ou des graphiques sur votre page ?

Vous vous dites peut-être : tout le monde le fait alors ça doit avoir son utilité.

Effectivement ces éléments ont une utilité. Mais seulement s’ils sont correctement utilisés.

Si vous utilisez des images, des vidéos ou des graphiques, ils doivent obligatoirement renforcer votre message, votre proposition de valeur.

Alors, n’utilisez pas des images ou des graphiques simplement parce que vous pensez que vous devez les utiliser.

Source : www.webmarketing-com.com

Nota : Il se peut qu’en fonction de votre situation tous les points ne soient pas applicables.
1.Avez-vous créé un nouveau compte Google et un nouveau mail pour votre site ? Ce n’est pas une obligation mais ça peut être bien pratique par la suite.
2.Avez-vous installé Google Analytics ? Avez-vous défini des « objectifs de conversion » ? Avez-vous installé des tableaux de bord personnalisés ? … Si vous souhaitez éviter de donner vos données à Google, il y a aussi Piwik
3.Avez-vous installé Google Webmaster Tools ? C’est indispensable …
4.Avez-vous installé Bing Webmaster Tools ? … ça peut aider
5.Vous utilisez WordPress ? Avez-vous installé « Google Analytics for WordPress » et « SEO for WordPress » ? C’est encore plus simple que tout paramétrer à la main.
6.Avez-vous vérifié dans Google Webmaster Tools les erreurs 404 / 500, le contenu dupliqué, les balises titles manquantes et autres erreurs techniques que Google a détecté ? Vérifiez que vous recevez bien les messages de Google WT … même si je vous souhaite de ne pas en recevoir
7.Avez-vous utilisé Browseo pour identifier encore d’autres erreurs techniques ?
8.Avez-vous utilisé Xenu pour identifier d’éventuels problèmes de liens brisés ? Faites-le, c’est gratuit et facile à utiliser (Windows seulement)
9.Avez-vous utilisé Market Samurai ou Keyword planner ? Il est primordial d’identifier les mots clefs qui génèrent du trafic. Concentrez-vous sur un ou deux mots clefs pour commencer.
10.Vous êtes une agence SEO ou un gros site ? Regardez aussi du coté de Semrush (Outils payants mais plus performants)
11.Avez-vous jeté un coup d’oeil aux liens de vos concurrents ? C’est plus facile de commencer son linkbuilding en « s’inspirant » des confrères. Vous découvriez de nouveau mots clefs et verrez comment et où ils obtiennent leurs liens. Utilisez Link Diagnosis, Open Site Explorer, Ahrefs, Majestic SEO et LipperHey. Exportez vos liens dans Excel, dédoublonnez et créez des liens !
12.Est-ce que votre mot clef principal et ses déclinaisons proches ont étés intégrés aux urls de vos pages principales ?
13.Est-ce que les balises Titles de vos pages font bien +/- 65 caractères (ou moins) ? C’est super important, c’est les titres de votre site sur Google, il ne faut pas qu’ils soient tronqués.
14.Est-ce que les balises Description de vos pages font bien +/- 155 caractères (ou moins) ? C’est super important, c’est le texte juste sous le titre sur Google, il ne faut pas qu’ils soient tronqués et il doit être pertinent et donner envie de cliquer.
15.Utilisez-vous les balises H1 ? Est-ce que vos mots clefs sont dans les H1 ? Est-ce qu’elle sont bien avant les autres balises (H2, H3, H4…) ? Utilisez-vous bien une seule balise H1 par page ? Pour être exhaustif, utilisez Screaming Frog , Moz, SiteCondor … (payants)
16.Avez-vous assez de texte accessible aux moteurs sur vos pages ? Non, jamais assez !! Il vous faut au moins 200 mots sur chaque page et évitez à tout pris les copier/coller. Il faut du contenu unique. Si vous avez moins de 200 mots sur une page, il est peut-être pertinent de regrouper plusieurs pages entre elles (?)
17.Avez-vous utilisé des synonymes de vos mots clefs ? Ok, c’est bien, mais pensez plus large, pensez « champs sémantique », ne vous limitez pas aux seuls synonymes.
18.Toutes vos images ont-elles bien une balise Alt correctement remplie ? Cela permet aux moteurs de « voir » les images de votre site et de les ressortir via Google Image. Décrivez au mieux ce qui compose votre image/photo.
19.Êtes-vous sûr que les images que vous utilisez sont libres de droit ? Vérifiez, j’ai eu une mauvaise surprise sur une toute petite image publiée il y a 4 ans …
20.Est-ce que les liens internes de vos pages sont correctement fait ? Avez-vous décrit la page pointée avec l’ancre de texte de l’url afin que le visiteur s’y retrouve ? Attention toute fois à ne pas abuser car ce serai perçu comme de la sur-optimisation …
21.Avez-vous commencé l’optimisation « off-page », autrement dit votre « link building » ? Il s’agit du plus difficile mais du plus important critère dans votre référencement.
22.Êtes-vous sur que votre site n’a pas de contenu dupliqué ? Utilisez des redirections 301, des balises Canonical et Google WebMaster Tools pour supprimer tout contenu dupliqué qui peut nuire à votre référencement.
23.Avez-vous fait un test de rapidité ? Utilisez cet outil pour avoir une idée de la situation.
24.Avez-vous créé un plan de site au format XML et l’avez-vous soumis dans les Google et Bing Webmaster Tools ?
25.Utilisez XML-Sitemaps ou Google XML Sitemaps si vous utilisez WordPress.
26.Avez-vous créé un fichier Robots.txt ? L’avez-vous soumis aux Webmaster Tools ?? Avez-vous supprimé les lignes noindex, nofollow du serveur de test ?
27.Avez-vous réservé le nom de votre site / société sur les principaux site sociaux ? Utilisez Namechk pour le vérifier
28.Est-ce que votre site est compatible mobiles ?? Faites le test sur BrowserStack
29.Avez-vous paramétré vos comptes sur Facebook, Twitter, LinkedIn et Google+ ?
30.Votre site est international ? Avez-vous renseigné les balises href lang ?
31.Avez-vous intégré le marqueur de l’Authorship de Google ? On ne sais plus trop à quoi ça sert mais dans le doute, avec Google, on le fait !
32.Avez-vous vidé le cache de votre navigateur avant de tester votre site (encore une fois) ?
33.Vous voulez aller encore plus loin ?? Epluchez religieusement la liste d’Annie Cushing ou tout simplement faites appel à un pro

Ne paniquez pas, AUCUN site web n’a vérifié l’ensemble des points de la checklist SEO le jour de sa mise en ligne. Par contre il vaut mieux s’en occuper pas trop longtemps après.

Sources : image YakaMama, Clickminded, Moz

L’offre de contenu est la clé de voûte du succès d’Apple. Quelques explications sur ces stratégies qui créent l’engouement jusqu’à transformer les marques en religions.

L’inbound marketing a largement fait sa place dans les stratégies actuelles et séduit de plus en plus de marketeurs…et de consommateurs. On pourrait le résumer de manière presque inédite :

« Une stratégie subtile et attentive qui permet à la marque d’être facilement repérée sur la toile par les internautes, qui devant une offre de contenu pour le moins intéressante, font un pas vers celle-ci ».

Bien entendu, ce n’est qu’une courte appréciation d’un système plus complexe, cependant, elle nous permet déjà de comprendre ce qui fait son succès : l’offre de contenu.

Générer des tribus

Le contenu peut être varié : de la simple information à travers des histoires (le mot barbare des marketeurs, c’est le storytelling), des articles, des livres blancs, de la vidéo, des infographies, des offres d’essai… Le tout fédéré autour d’un sujet commun, qui concerne généralement la marque qui le présente.

Et qui dit sujet, dit intérêt. Internet offre cette merveilleuse possibilité de trouver ces contenus et surtout de nous retrouver autour. Là où l’on pensait qu’internet permettrait de réunir tout le monde dans un « hub » d’informations, il en fut l’effet inverse. Internet a permis de générer des tribus, se regroupant autour d’intérêts communs. Ce phénomène a brillamment été développé par Seth Godin dans sa conférence « The tribeswelead ».

Dès lors qu’une entreprise produit du contenu, elle fédère automatiquement une communauté d’adeptes, une véritable tribu ! D’autant plus qu’il s’agit d’une tribu active : les membres aiment, partagent et font circuler l’information ; ils participent ainsi au développement de la marque. Quoi de plus efficace ?

Acheter le pourquoi

Pour aller encore plus loin, parce que nous aimons insister, nous pouvons aborder le concept de Golden Circle, développé par un second gourou du marketing : Simon Sinek. Il met en évidence le succès d’Apple, de Martin Luther King ou encore des frères wright à travers le schéma simple de trois cercles concentriques. Le plus grand cercle illustre le « what », le cercle du milieu le « how »et le dernier représente le « why ».

Le raisonnement est simple : le « what » correspond à ce que produisent les entreprises, le « how » à comment elles le font, et le « why » à pourquoi elles le font. Le « pourquoi » va au-delà du profit, il regarde le but, la cause, la croyance : pourquoi est-ce que l’entreprise ou l’organisation existe ? Le succès d’Apple tient simplement à ça : ils communiquent d’abord par le « why », c’est-à-dire sur la raison de leur existence. Leurs clients n’achètent pas ce qu’ils font, ils achètent ce pourquoi ils le font.

« People don’t buy what you do, they buy why you do it. »

Croire sincèrement

Et c’est ainsi que nous comprenons que les consommateurs ne veulent pas seulement des produits, ils veulent l’histoire qui les accompagne. L’inbound marketing traite de ceci : on ne vend plus le produit, on vend du contenu, on va au-delà du matériel, on veut intéresser les personnes avec de l’information, avec des histoires. En somme, ce n’est pas tant le produit qui fait la différence, mais ce qu’en dit la marque ou l’entreprise. L’objectif n’est pas tant de faire du business avec des consommateurs qui ont besoin de ce que l’entreprise conçoit, mais de faire du business avec des personnes qui croient en ce que l’entreprise croit. Et ce en quoi l’entreprise croit, c’est bien dans ce contenu qu’elle peut le diffuser.

Certes, nous avons presque tout cerné de ce que veulent les consommateurs, mais attention à ne pas leur raconter des « histoires », rester crédible et appréciable, c’est aussi être sincère !

Rédigé par Valentine Ducreux, consultante au sein de l’agence de relations presse 1min30

Comment définir le mieux possible le nom de son nouveau domaine ?

Faut-il investir dans les nouvelles extensions proposées par l’ICANN ? Tous les conseils pour ne pas se tromper.

http://www.pole-position-seo.com/2014/05/choisir-un-nom-de-domaine.html

 

Pourquoi associer inbound marketing et prospection ?

Plus personne ne conteste le fait que le comportement de l’acheteur a changé.  Plus de 70% des décisions d’achat démarrent par une recherche d’information sur Google. Rendre votre site attrayant et visible (grâce, entre autres, à l’utilisation des bons mots-clés et à l’ajout régulier de contenu de qualité) devient donc la première étape de  vos efforts de vente.

La récente crise économique a également changé la façon dont les entreprises et les consommateurs dépensent de l’argent. On constate qu’il y a encore plus de résistance à ce qui est vendu et beaucoup moins d’argent à dépenser. Là aussi les techniques non intrusives de l’inbound marketing prennent avantageusement le relais du matraquage commercial.

Comment combiner inbound marketing et prospection ?

Intégrer l’inbound marketing et la prospection classique implique de vendre différemment. L’approche traditionnelle qui consiste à présenter les caractéristiques et avantages d’une société et de ses produits ou services ne fonctionne plus.  Et les prospects supportent de moins en moins d’être interrompus au mauvais moment. Il s’agit donc d’apporter de la valeur, de se distinguer et surtout, de rendre service au client.

Dans un tel contexte, qu’apporte l’inbound marketing à vos commerciaux?

  • Moins d’incertitude. Si vous optimisez votre site web et son contenu, les prospects à la recherche de votre type de produit ou service vous trouveront quand ils en auront besoin. Ainsi, vous ne les appellerez plus à froid quand ils n’ont besoin de rien. Et avec un bon référencement, vous apparaîtrez dans les premiers résultats de Google, ce qui augmentera encore vos chances d’être trouvé.
  • Une prospection plus ciblée. Dès qu’un prospect aura marqué son intérêt pour un produit ou un service particulier (en vous laissant ses coordonnées pour télécharger un document ou en vous contactant pour recevoir une offre ou participer à un événement), vous disposerez d’informations précieuses sur ce qui l’intéresse vraiment. Et vous pourrez adapter votre offre commerciale en conséquence.
  • Un meilleur taux de conversion. Selon une étude de Search Engine Journal, les leads générés par les moteurs de recherche et par le contenu digital ont un taux de conversion d’environ 14,6%, tandis que les leads traditionnels ont un taux proche de 1,7%. Les tactiques traditionnelles (publicités, e-mailing, relations publiques et autres) atteignent certes un nombre impressionnant de personnes, mais le pourcentage de personnes intéressées et prêtes à acheter est très faible.
Impact de l’inbound marketing sur le processus de vente

L’inbound marketing rend donc votre processus de vente plus efficace de 4 manières:

  • Plus de leads qualifiés
  • Moins de prospection “aveugle”
  • Moins de dépenses et plus d’opportunités
  • Un meilleur suivi des prospects et clients
1.      Un flux constant de leads qualifiés

L’inbound marketing change complètement la prospection pour coller aux nouveaux temps forts du cycle d’achat. Dans la plupart des cas, vos futurs clients ont déjà bien déblayé le terrain: ils se sont informés (sur internet), ils ont comparé les prix, ils savent ce qu’ils veulent. Bref, ils sont prêts à négocier ; vos vendeurs le sont-ils?  En alliant inbound marketing et CRM (Customer Relation Management), ils pourront mieux se préparer.

2.      Un focus sur les vraies opportunités

Les leads générés par l’inbound marketing sont déjà qualifiés. Vos vendeurs passent ainsi beaucoup moins de temps en prospection inutile. Ils suivent des pistes bien plus susceptibles de déboucher sur une vente. Contacter en priorité ces prospects “à haut potentiel” représente un gain de temps et de productivité certain!

3.      Coûts réduits et horizons élargis

Si vos commerciaux se déplacent moins, cela a bien sûr un impact direct sur les coûts de prospection, sans compter que le temps passé sur la route est du temps “perdu”. Dans la logique inbound, les leads étant déjà qualifiés, les premiers contacts peuvent se faire par téléphone.  Et la technologie (vidéo-conférence) permet de réserver les rencontres face-à-face à la phase de négociation active et à la création d’une relation durable (et plus humaine).

Enfin, votre site étant visible partout dans le monde, les leads générés par l’inbound marketing peuvent venir de bien plus loin, ce qui élargit considérablement votre zone de chalandise.

4.      Un meilleur suivi des prospects

Même lorsque vos vendeurs  détectent des prospects de manière traditionnelle, ils utiliseront l’inbound marketing pour les qualifier et les suivre.

Comment? Après un premier contact, il leur suffira d’envoyer au prospect un e-mail comprenant un lien vers votre site. S’ils cliquent sur ce lien, vous pourrez suivre leur activité en ligne. Ainsi, vous  saurez précisément s’ils ont un réel intérêt pour vos produits et services et pour lesquels en particulier.

Autres avantages de l’inbound marketing
  • Une meilleure connaissance des prospects: Tout bon vendeur vous le dira: mieux il comprend ce qui intéresse un client, plus il est susceptible de faire une vente. Identifier précisément vos prospects est donc votre priorité. Quels rôles jouent-ils dans leur société? Sont-ils des décideurs, des prescripteurs ou des utilisateurs? Quels sont leurs problèmes? Et leurs besoins? Quelles sont leurs questions les plus pressantes?
  • Des argumentaires sur mesure: Maintenant que l’équipe de vente a une image claire des besoins des prospects, ce qui les intéresse et à quel point ils sont prêts à acheter,  vos vendeurs peuvent faire ce qu’ils font le mieux – vendre! Dans ces conditions, le taux de conclusion monte en flèche puisque le bon message touche la bonne personne au bon moment.
  • De meilleures prévisions: la précision des prévisions est d’une importance vitale. Avoir un pipeline commercial rempli de contacts qualifiés clairement identifiés rend la planification moins difficile.
En conclusion,

Aujourd’hui, plus que jamais, la vente et le marketing doivent avancer main dans la main.

Car l’inbound marketing ne résout pas tout. Encore faut-il que vos équipes commerciales évoluent. Leurs nouvelles tâches consisteront à surveiller l’évolution des leads, évaluer leur qualité et savoir quand prendre le téléphone ou rencontrer en personne un prospect.

Le métier de commercial devra évoluer : Les vendeurs devront être experts de leurs produits et de fins conseillers techniques, leurs compétences commerciales seront moins importantes dans la mesure où leurs contacts prospects seront déjà assez avancés dans leur acte d’achat. L’optimisation de temps sera maximum et devrait aller dans le sens d’effectifs commerciaux moins importants à résultat égal. Les Echos

Par ailleurs, leur analyse du comportement des acheteurs, des cycles de vente, des besoins des prospects, etc. est essentielle pour tirer le meilleur parti de l’inbound marketing (et ainsi créer le bon contenu, choisir les bons mots clés et développer les bonnes conversations et les bons appels à l’action).

Le marketing se met directement au service des ventes et contribue à la génération de leads. Les systèmes d’information devront être repensés, CRM, formulaires de contact… Le marketing devra intégrer sérieusement les problématiques du référencement/SEO, pourvoir des contenus de qualité et variés, mais aussi diminuer la publicité sortante à faible rendement.  Les Echos